Pour toute question concernant la productivité, les indicateurs de performance (KPI), le taux de rendement (ROI) et l’optimisation de votre production ou de votre chaîne d’approvisionnement, lisez la section suivante.
Pour toute question concernant la productivité, les indicateurs de performance (KPI), le taux de rendement (ROI) et l’optimisation de votre production ou de votre chaîne d’approvisionnement, lisez la section suivante.
La productivité représente le rapport entre la production de biens ou de services d’une entreprise et les ressources qu’elle met en œuvre pour les vendre. La mesure de la productivité permet de connaître l’efficience avec laquelle les ressources sont transformées en production.
Pour être plus productive, une entreprise doit faire mieux, plus rapidement, et ce, tout en contrôlant l’utilisation de ses ressources.
La meilleure façon d’atteindre la productivité souhaitée est de miser sur l’innovation sous toutes ses formes et sur l’adoption de technologies et de procédés évolués.
Une hausse de productivité permet, entre autres:
Un plan d’action en productivité et automatisation permet à une entreprise de réaliser une analyse de sa productivité, de trouver des pistes d’amélioration ou de résoudre un problème précis ayant des conséquences sur son rendement.
Le plan d’action en productivité et automatisation peut inclure:
Pour obtenir un plan d’action en productivité et automatisation, contactez nos conseillers industriels.
Un plan d’action en productivité et automatisation réalisé par les experts d’Investissement Québec procure des bénéfices tangibles, comme:
Pour en savoir plus, cliquez ici.
La meilleure façon d’augmenter la productivité d’une entreprise est de miser sur l’innovation sous toutes formes ainsi que sur l’adoption de technologies et de procédés évolués.
Avant cela, la révision des processus actuels s’avère nécessaire. Il est recommandé de réaliser un audit et de recourir à des services d’accompagnement stratégique ou technologique.
Pour en savoir plus, cliquez ici.
La compétitivité d’une entreprise repose, entre autres, sur sa capacité à adopter et à développer de nouvelles technologies. La transformation numérique favorise l’évolution des processus de production et le développement des innovations, ce qui a un impact sur la productivité.
Selon le site de Statistique Canada, «une performance améliorée de la productivité permet à une entreprise de diminuer ses coûts de production, de vendre davantage ses produits à meilleur prix et d’accroître relativement sa capacité concurrentielle.»1
1 Source : https://www150.statcan.gc.ca/n1/pub/15-206-x/2006002/4054836-fra.htm (consulté le 17 novembre 2021)
Il est impossible d’améliorer quelque chose qui ne peut être mesuré! Les entreprises d’ici doivent connaître et maîtriser cet important concept.
Une mesure de la productivité transmet de l’information sur l’efficience avec laquelle les ressources sont transformées en production (faire mieux avec moins). Voici comment la calculer :
La meilleure façon de mesurer l’augmentation de la productivité est d’employer les indicateurs de performance opérationnelle.
Utilisés pour évaluer l’efficacité des actions et faciliter la prise de décisions, les indicateurs clés de performance (ICP ou Key Performance Indicator [KPI]) permettent un suivi rapide des opérations. Ces ICP peuvent toucher à la satisfaction client, à la productivité humaine, au taux de rendement global ainsi qu’au taux de travail. Les indicateurs clés de performance doivent être mis à jour régulièrement et correspondre aux objectifs de l’entreprise.
Un indicateur clé de performance est un outil qui permet à un décideur de connaître l’état de son entreprise ou de son projet, de vérifier le degré d’atteinte des objectifs fixés et, au besoin, de mettre en place des mesures correctrices. Il existe plusieurs ICP ou KPI. Celui que le dirigeant d’entreprise choisit doit lui permettre de prendre de bonnes décisions pour le protéger des risques.
Pour établir les bons indicateurs clés de performance, l’entreprise doit déterminer ses objectifs stratégiques et opérationnels, et ce, en fonction de son domaine d’activité. Par exemple, voici six catégories d’ICP ou de KPI utiles aux entreprises manufacturières :
Une entreprise peut produire davantage de biens en:
Demander l’aide d’experts en productivité est aussi une excellente façon d’améliorer votre situation.
Investissement Québec peut aider une entreprise à optimiser la gestion de ses opérations manufacturières, comme la planification de la production, la gestion des approvisionnements ou encore le contrôle de la qualité, en réduisant ses pertes et en augmentant sa productivité.
Une entreprise peut améliorer la qualité de sa production en investissant dans:
Un dirigeant d’entreprise ne doit pas hésiter à demander l’aide d’experts pour améliorer la qualité de sa production. L’équipe d’Investissement Québec peut aider l’entreprise à cibler les opérations qui génèrent des pertes et favorisent des gains.
Pour optimiser sa chaîne d’approvisionnement, une entreprise peut, entre autres:
De nouvelles technologies peuvent apparaître à tout moment. C’est pourquoi un dirigeant d’entreprise ne devrait pas hésiter à demander l’aide d’experts pour optimiser sa chaîne d’approvisionnement.
Le taux de rendement, que l’on appelle aussi le retour sur investissement ou le ROI, est un indicateur financier qui permet de connaître le rendement d’une somme investie. Le rapport entre le gain net et le montant de l’investissement, qui est exprimé en pourcentage ou en valeur, permet de mesurer la rentabilité d’un projet.
Le ROI fait partie des indicateurs clés de performance (ICP ou KPI).
La formule mathématique suivante permet de calculer le ROI d’une entreprise :
(Valeur actuelle de l’investissement – Coût de l’investissement)/Coût de l’investissement
Un résultat positif correspond à un gain; un résultat négatif, à une perte.
Connaître le taux de rendement peut aider le dirigeant d’une entreprise à prendre certaines décisions. Cela dit, le ROI possède quelques failles. Par exemple, il se révèle peu pertinent pour évaluer la rentabilité d’investissements futurs. De plus, il ne tient pas compte des risques associés aux investissements ni des facteurs d’influence externes (ex. : crise économique, concurrence, etc.).